lundi 12 janvier 2015

Bouffée d’oxygène à Chémoulin

Samedi 10 janvier 2015

BM 14h14, PM 19h28 coeff 66
5 B Ouest molissant en fin de journée

Françoise, Martine,
Alain, Philippe, Yannick, Franck, Hervé, Christian


Deuxième samedi de 2015, et la météo nous présente encore des conditions difficiles !
Après un rapide échange de points de vue, nous optons pour un départ du petit port de Gavy.
Le ciel est gris, les vents sont bien présents et bien à l’ouest, nous sommes à l’abri pour l’embarquement dans l’anse de Gavy.
Pierre-Dominique,  Anny, et Sandy sont venus saluer notre départ. Nous croisons Jean-Pierre et Claude sur l’eau.
Puis nous mettons cap fort de l’Ève, les premiers coups de pagaies se fonts à l’abri du vent jusqu’à la pointe de l’Ève que nous passons sans difficultés. Nous poursuivons jusqu’à la pointe de Chémoulin .
Bien que nous sommes sur la montante, nous naviguons légèrement au large pour ne pas être dans les vagues de bord de côte, en cherchant toutefois à ne pas trop subir le courant de la montante. En ce qui concerne le vent, nous le prenons de face. C’est un bord physique dans des creux proches des  2m !
Les premiers arrivés effectuent quelques surfs le long de la pointe en attendant que le groupe se reconstitue.
Le vent est bien installé, la mer se creuse. Nous pagayons à la pointe de Chémoulin dans des vagues verticales crées par le ressac. Puis cap vers le petit charpentier face au courant eu au vent. Cette traversée se fait en bac. Le début est très physique, le courant et le vent s’accélérant au près de la pointe. Nous mettrons ¾ d’heure pour ce bord de moins d’un mile (0,9 nautique).
Pierre-Dominique et Anny prenant de photos depuis la côte nous dirons par la suite que nous donnions l’impression de pagayer pour rien !
Le but est atteint par tous ! Nous sommes secoués au dessus des rochers du petit Charpentier.
Ce bord difficile est un très bon entraînement pour s’aguerrir en vue des randonnées à venir.
Nous n’irons pas plus loin. La récompense est là : c’est au portant que nous mettons cap sur la pointe de l’Eve. Si nous sommes poussés par le vent la houle nous offre de beaux surfs mais pas toujours faciles à déclencher. Le groupe s’étale en fonction des surfs plus ou moins réussis, nous nous surveillons les uns les autres, puis nous nous regroupons une fois passé le Fort de l’Eve.
Nous retrouvons un plan d’eau calme pour rejoindre l’endroit de débarquement.
Philippe, n’ayant pu sortir en mer aussi souvent qu’i l le souhaite nous dira en conclusion « c’est différent du Bois-Joalland ! »

Nous avons parcouru un peu moins de  nautiques
Christian





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